![Colombe D. Newton](https://2img.net/h/oi46.tinypic.com/2uivrmh.jpg) « Colombe D. Newton»
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![Colombe - "Princesse délavée d'un sordide conte de fées." Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) | Sujet: Colombe - "Princesse délavée d'un sordide conte de fées." Mer 14 Déc - 15:30 | |
| Colombe Daphné Newton misery angel ® ft. elsa hosk Je m'appelle Colombe D. Newton mais certaines personnes me surnomment Mademoiselle Newton, la timbrée ou la sale gosse . Je suis né(e) à Los Angeles le 14 juillet 1986, ce qui fait que j'ai aujourd'hui 25 ans. Je suis à Los Angeles depuis toujours, ou plus souvent perdue dans mes rêves et je dois avouer que je trouve la ville plutôt attrayante mais terrifiante. Depuis un petit moment maintenant, j'ai découvert que j'étais asexuée seraient tentés de dire les spécialistes et c'est comme ça. J'aime beaucoup la neige, les sucreries et les contes de fées par contre je déteste les hommes, la chaleur, les preuves d'affections. Une chose que vous ne savez pas encore c'est que je fais partie des Envy car c'est comme ça.
« Caractère » A première vue, Colombe est une jeune femme agréable. Douce, souriante, généreuse, naturelle. Mais plus on la fixe, plus on s'aperçoit que quelque chose cloche chez cette femme. Alors elle vous tourne le dos, rapidement, gentiment, en prétextant le manque de temps, refusant à toute personne de s'introduire dans sa vie, de la connaître et de remarquer tous ces détails qui la rendent sûrement unique. Malgré ces vingt-cinq ans, Colombe reste toujours une petite fille. Elle vit avec sa mère, est totalement dépendante d'elle et de ces pilules qu'elle est obligée de prendre pour se sentir mieux comme on lui dit, et pourtant... Pourtant elle ne va pas mieux. Les effets psychotropes sont toujours trop éphémères, alors pour se vider l'esprit, le cœur, Colombe s'exécute dans de multiple tâches qu'elle enchaîne sans jamais souffler, toujours avec le sourire et bonne humeur. Elle range, elle nettoie, elle frotte avec ses petites mains le carrelage de la cuisine à l'aide d'une brosse à dent pour retirer les microbes, elle lave trois fois les couverts pour qu'ils soient bien propres et prépare des repas qui pourraient être destinés à des régiments entiers. Et parfois, elle prend le temps de se reposer. Pas à la manière des autres femmes, en s'offrant un soin en institut, elle déteste être touchée par d'autre personne que sa mère, ou en prenant un bain puisque sa seule occupation, au lieu de se détendre, serait de frotter chaque parcelle de son corps pour qu'il soit parfaitement propre. Oui, elle prend le temps de se reposer en prenant un livre. Pas n'importe quel livre. Seulement les contes de fées, Colombe les aime bien car ils finissent toujours très bien pour la plupart. Alors elle les lit, les relit, et elle commence à rêver. Elle aussi se verrait bien avec une robe magnifique, dans une situation jugée catastrophique et un prince charmant qui pourrait l'en sortir. Elle aimerait une fin heureuse avec plein de beaux enfants. Mais la réalité est beaucoup moins féerique. Sa situation catastrophique, la vie a décidé qu'elle y resterait sûrement jusqu'à la fin de sa vie. Alors elle sombre doucement dans la dépression, Colombe ne pense plus aux princesses, aux magnifiques palais mais à des idées beaucoup plus sombres, terrifiantes. Dans le fond, elle aimerait bien s'ouvrir la poitrine pour s'arracher le cœur, mais elle n'a pas le temps de s'y attarder. Elle doit proposer un croquis à une cliente pour la chambre de son petit garçon demain. Les enfants, Colombe les adore, mais pas comme une femme de son âge qui rêverait d'enfanter, plutôt comme une adulte mélancolique de cette période de bien-être et d'insouciance. Oh oui, elle crèverait d'envie de revivre cette jolie période. Elle en crèverait. |
| « Ton petit secret et ta particularité» Malade. Atteinte mentalement. Droguée et bourrée aux médicaments. Vierge. Bloquée au stade de l'enfance/adolescence. Parce-que c'est à cet instant là que tout s'est passé. Colombe n'a jamais voulu le raconter où même se l'avouer et a toujours considéré cet instant comme un très mauvais rêve parmi tant d'autres et des plus beaux. Il lui avait répété qu'elle ressemblait à sa mère. Qu'elle était belle, tout comme elle, mais en plus jeune. Il avait trouvé son corps d'enfant excitant. Il disait qu'il devinait sans trop de mal la pointe de ses petits seins naissants et durcis par l'émotion, les frissons. Sa main avait glissé dans sa tignasse blonde, dans son dos, sur ses fesses qu'il disait petites et tendres. La suite reste mystérieuse, même pour Colombe. Elle a préféré oublié pour se consacrer à sa vie de princesse meurtrie. |
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>Raconte nous une histoire.... Née de l'union cachée d'une publicitaire et de son patron marié, sa naissance ne fut pas tellement considérée comme étant la bienvenue. Mais sa génitrice à su s'adapter, à accepté d'abandonner sa carrière de publicitaire. Son géniteur lui, à tout simplement fuit et laissé le plaisir à sa maitresse de poser sa démission. Indépendante, la jeune femme ne lui a jamais demandé d'argent, ni de service pour l'aider à élever sa jolie petite fille. Durant neuf mois, la future mère s'était consacrée à la couture, à la décoration d'une chambre pour enfant et à la construction de ces meubles. Seule dans la salle d'accouchement, personne n'avait été là pour lui tenir la main, embrasser son front humide. Mais à la vue de ce petit bout qui pleurait, elle oublia cette mauvaise histoire, tourna la page car une autre, beaucoup plus belle allait s'écrire.
Petite blonde aux grands yeux bleus, Colombe n'avait jamais manqué de rien. Choyée par sa mère qui avait ouverte une boutique d'antiquité et de vêtements, la petite fille passait son temps entre l'école et la boutique de sa mère où elle aimait se déguiser avec les masques vénitiens et les chaperons en soie qu'elle y trouvait. Puis parfois, elle aimait attraper ces gros bouquins à la couverture en cuir et aux lettres d'or. Elle ne savait pas encore parfaitement lire, mais elle essayait de déchiffrer les lettres minuscules, elle s'émerveillait devant les illustrations et quand ces enchaînements de mots ne lui disaient rien, de sa petite voix d'enfant, elle s'inventait sa propre histoire et sa mère venait alors derrière elle, avec une voix faussement grave, elle la menaçait de lui faire avaler de force cette nouvelle fournée de cookies aux pépites multicolores, les préférés de Colombe. C'était la belle époque. Puis mademoiselle Newton se mit à grandir.
L'adolescence est peut-être la période la plus horrible dans la vie d'un individu. Votre corps se transforme, celui des filles plus vite que les garçons, et on ne comprend pas. Les filles cherchent le grand amour, comme dans les histoires que maman avait pour habitude de nous raconter le soir, et les garçons eux, plutôt que de s'intéresser à ce que vous dites, préfèrent perdre leurs regards sur votre poitrine naissante ou sur vos cuisses, intrigués par ce qui pourrait se cacher sous cette jupe. Alors on se pose des tas de questions, on se cherche, on a du mal à se trouver. L'adolescente est la période où Colombe a commencé à s'éloigner des filles de son âge, un peu trop intéressée par la mise en valeur de leur corps, les premières expériences, les hommes plus matures comme elles disaient toutes. Le seul homme mature qui l'intéressait, c'était son père... Son géniteur plutôt. Il avait commencé à lui manquer quand sa mère s'était engagée dans une nouvelle relation avec un médecin psychologue. Elle avait crée un nouveau malaise entre elle et sa mère, mais son nouvel ami l'avait très vite aidé à surmonter cette nouvelle étape grâce à ces conseils de psychologue amoureux, entre deux baisers, deux mots doux.
Juste un peu avant ces seize ans, Colombe avait réussi à avoir un rendez-vous avec son géniteur. C'était sa mère qui avait tout arrangé. S'arrêtant lentement devant cet grand hôtel luxueux de Los Angeles, la femme avait embrassé sa fille sur le front, rangeant quelque unes de ces mèches rebelles. Elle avait regardé son enfant s'engouffrer dans ce bâtiment de marbre, de granit, d'or, de bois luxueux et autres matières tout aussi chères en retenant ces larmes. Impressionnée par la beauté des lieux, Colombe avait mit beaucoup de temps avant d'arriver devant la porte de la suite dans laquelle se cachait son géniteur. Il était seul. Quelques rides parsemaient son visage, il était rasé de près, ses cheveux gris-blanc étaient en bataille et il affichait un sourire radieux, des dents parfaites. Il était beau en costume. Sur la table basse du salon étaient posés plusieurs téléphones portables, des dossiers, des paquets de nourritures asiatiques, une photo de famille. Intriguée, Colombe l'avait attrapé pour détailler chaque visage. Des inconnus. De parfaits inconnus parfaits avec leurs polos, leurs sourires, leurs cheveux trop bien coiffés. La jeune fille, elle, portait une des créations de sa mère, un peu poupée sage, un peu fantaisiste. Ces longues mèches de cheveux blonds se bâtaient en duel. Et elle était obligée de porter un appareil le soir pour ranger ces dents. « Alors, qu'est-ce qui t'as donner envie de me voir ? » dit-il en retirant la photo des mains de la jeune adolescente. « Je pensais que ta mère t'aurais raconté assez d'histoires peu valorisantes à mon égard pour ... » Colombe le coupa aussitôt : « Je vous dérange peut-être ? Je voulais juste mettre un visage sur votre prénom, votre réputation. Je n'ai pas dans l'espoir d'avoir enfin un père, vous avez votre famille et je suis heureuse avec ma mère... C'était juste par curiosité que j'ai voulu vous voir. Rien d'autre. » Il avait rit, puis posé sa main sur les longs cheveux de Colombe. « Tu ressembles à ta maman. »
Tous le monde ignore ce qu'il a pu se passer dans cette chambre. En en ressortant, Colombe est restée muette pendant des mois, perdues dans ces pensées, complètement ailleurs, triste, fatiguée. A l'école, elle était excellente, mais trop discrète pour les professeurs qui auraient bien aimé entendre une fille aussi intelligente prendre la parole. Les filles se moquaient d'elle, les garçons aussi. Rejetée, personne ne voulait s'intéresser à Colombe et elle ne s'intéressait à personne. Elle passait dans les couloirs comme une ombre, ces longs cheveux trainant derrière elle, sa jupe en velours côtelé bleue se froissant à chacun de ses pas. On s'est juste aperçu qu'Colombe avait développé une certaine forme de dégoût pour les preuves d'affections, surtout pour les hommes. Dès lors, elle commença à passer toutes ces nuits avec sa maman, détruisant peu à peu son couple, faisant fuir ce psychologue qui avait voulu l'aider au début... Mais lui aussi l'avait dégouté. Sa crise d'hystérie avait été la goutte qui avait fait déborder le vase comme on dit. Collée à sa mère comme une enfant de cinq ans, elle lui demandait une belle histoire tous les soirs fantasmant sur un prince charmant qu'elle ne rencontrerait jamais. Quand elle n'avait rien à faire, Colombe passait son temps à la boutique d'antiquité, elle se déguisait avec les masques vénitiens et les chaperons en soies qu'elle y trouvait, attrapait un de ces gros livres en cuir aux lettres dorées, et elle lisait les belles histoires qu'ils renfermaient. Et sa mère venait avec une assiette de gâteaux couverts de crèmes colorées pour la poser devant elle, le regard empli d'inquiétude et de tristesse.
Le cas d'Colombe ne s'est pas amélioré, dans un sens il a empiré. Mais depuis elle a fait du chemin. Diplôme en poche, elle travail en tant que décoratrice d'intérieur. Elle s'est spécialisée dans la décoration de chambre pour enfant, il n'y a qu'à voir la sienne pour comprendre que cette spécialisation est inquiétante. Colombe multiplie les dépressions, les périodes d'hyper-activité où elle sa seule ambition est d'être tout le temps occupée. Elle déteste toujours autant les hommes, elle n'a jamais connu l'amour, elle n'a pas d'ami, seulement des clients. Elle adore les enfants, les prends pour exemple à l'âge où elle pourrait en avoir. Colombe vit dans son monde, horriblement beau, elle s'y est perdue... Les médicaments et sa mère sont les seules choses qui lui permettent de ne pas totalement sombrer dans ses mauvais délires adorablement morbides.
Qui se cache derrière l'écran.... Je m'appelle I.N que c'est sur MSN mais on me connait sous le pseudo La crotte . J'ai 16 ans et toutes mes dents. J'ai connu le forum sur/par Lydie et je le trouve plutôt bandant. Je n'ai pas de double compte si oui j'ai / . En lisant le règlement, j'ai vu qu'il y avait un code et le code que j'ai trouvé est Code bon bye Vitalie, je fais du rp depuis quelques années déjà et j'aime ça. J'ai envie de vous dire que je suis active seulement pendant les vacances et les week-end quand je m'organise bien Ah oui j'allais oublier, voilà un modèle de rp simplement pour vous faire voir ce que je sais faire mais attention il est caché. - Spoiler:
Être autant possédée par l'argent la mènerait sûrement à sa perte. Les hommes qui pensaient que leurs comptes en banque bien remplis pouvaient leurs permettre d'acquérir tout et n'importe quoi avaient bien raison. Euphrosine faisait parti de ces produits de consommations dont on était jamais pleinement satisfait, mais vers lequel on se re-dirigeait toujours en espérant que la prochaine utilisation serait beaucoup plus prometteuse. A moins que ce ne soit sa plastique qui lui valait tous ses fidèles clients. Des clients, en dehors des habitués qui aimaient assister aux spectacles qu'elle donnait au cabaret, Vénus n'en fréquentait qu'une petite dizaine. Ils venaient régulièrement la voir, lui demandaient des faveurs assez particulières et repartaient honteux sans jamais chercher à la retrouver en-dehors d'une chambre fermée à double tours. Sauf qu'il y en avait un qui refusait de rentrer dans le moule. Il aimait demander d'autres services à sa maitresse comme celui de l'escorter à quelques soirées en échange d'une enveloppe pleine de liquide qui pourrait lui permettre de s'offrir une nouvelle parure de diamant ou bien de quoi remplir son immense dressing de femme coquette. Euphrosine, se laissant charmer par la douce odeur des billets verts, acceptait toujours.
Ce soir, son client l'invitait au Casino. Il lui promettait limousine, champagne et cigare en échange d'une belle robe, d'une poitrine mise en valeur et d'une paire de jambe totalement nue. C'était dans un smoking d'un blanc immaculé que la demoiselle avait affronté son client. A la vue de ce décolleté trop gentillet et de ce pantalon qui dissimulait ces deux longues jambes, il avait râlé. Euphrosine, totalement indifférente lui piqua seulement son cigare pour le porter entre ses lèvres rouges et en profiter. Elle savait que sa soirée serait ennuyante. Si la demoiselle appréciait le jeu, le bluff et gagner, l'idée de perdre une certaine somme pour avoir tiré les mauvaises cartes lui donnait seulement envie de fuir et de vomir sur les casinos. Mais il n'était pas question de sa richesse personnelle cette nuit, plutôt celle d'un homme qui pensait qu'une belle fille à ses côtés lui porterait chance. Quel con ! La danseuse de cabaret espérait seulement qu'il ressortirait de ce lieu la queue entre les jambes. Comme à chaque fois.
Euphrosine abandonna son cigare contre une coupe de champagne. L'endroit était bruyant. Le brouhaha des perdants, des gagnants, des excités, des déçus et des machines à sous envahirent ses oreilles sans perdre de temps. La femme au costume blanc suivait l'homme au costume noir sans rechigner. Pour une fois, elle était la bête docile, la femme devant qui on remuait sa carte gold pour qu'elle affiche son plus beau sourire et qu'elle souffle sur vos dès pour vous porter chance. Il venait de perdre un total de 4000 dollars et gardait sa bonne humeur. Vénus se sentait blasée d'accompagner un homme qui n'avait aucune affinité avec la chance et qui disait ne pas regretter cette somme puisqu'elle allait tout droit dans les poches de son ami, le gérant du casino. Quel genre d'humain sur cette planète était du genre à trouver ce genre d'excuse tout à fait potable et à l'énoncer sans qu'une once d'amertume soit distinguable dans sa voix ? Le bon Samaritain ? Jésus ? Un trou du cul. Après avoir avalé la dernière gorgée du liquide dorée qui titillait agréablement ses papilles, Vénus constata que rien ne la retenait à cette table. Elle murmura quelques mots à l'oreille de son client qui glissa un gros billet dans le creux de sa main et qui lui tapa la fesse « pour se porter chance » d'une manière qui déplut fortement à la jeune femme. Elle attendait déjà la prochaine séance sado-masochiste de monsieur avec impatience.
Les traits de son visage étaient aussi crispés que ceux des pères de famille qui venaient ici pour liquider la totalité de leurs revenus mensuels et de ses accrocs qui espéraient seulement que la roue finirait par tourner si elle décidait, un jour/soir, de ne pas avoir raison d'eux à force de les écraser. Et pourtant, Euphrosine n'avait pas sorti un seul centime de sa poche et comptait sur le porte-feuille de son client pour payer toutes les consommations dont elle allait profiter à partir de maintenant. Assise au comptoir de ce bar qui n'était pas l'endroit le plus prisé par les joueurs, elle commanda tout en massant les diamants qui ornaient ses oreilles. Elle trouvait leur présence rassurante. C'est bien connu « Diamonds are a girl's best friend ». Soupir.
En attendant son cocktail, son regard vogua un peu partout et tomba au hasard sur l'homme qui était posé à côté d'elle. Et ce visage qui semblait plus anéanti que le sien lui redonna du baume au cœur et la fit doucement sourire. « Mauvais joueur ? Il n'est jamais trop tard pour arrêter. » Conseil du soir d'une accroc à la nicotine et au shopping. A l'intérieur, elle riait bien de sa propre connerie.
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