Ne vous affolez pas en lisant la suite du message, on ne vous lâche pas du tout =). Voilà après mure réflexion nous avons décidé de mettre le forum en stand by, le temps de lui refaire une peau neuve et de gérer quelques petites choses personnelles.
Ce n'est pas un adieu au contraire, on va revenir encore plus fort et plus beau qu'avant et avec plein de surprises pour vous les loulous.
Dés qu'on relance le fofo, vous serez immédiatement au courant afin que vous puissiez revenir vous amusez avec nous mais aussi subir la colère de notre très cher Hunter.
A très bientôt pour de nouvelles aventures parmi nous.
Sujet: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mer 30 Nov - 16:27
Hélissandre Sara Wild
tumblr ft. Charlotte Kemp Muhl.
Je m'appelle Hélissandre Sara Wild mais certaines personnes me surnomment Sad ou Sady car c'est mon pseudo de travail. Je suis née à Londres le 31 Octobre 1991, ce qui fait que j'ai aujourd'hui 20 ans. Je suis à Los Angeles depuis un an et je dois avouer que je trouve la ville plutôt effervescente. Depuis un petit moment maintenant, j'ai découvert que j'étais bisexuelle et c'est comme ça. J'aime beaucoup la caféine, l'ironie et la manipulation par contre je déteste la faiblesse, les humains en général et encore un nombre incalculable de choses. Une chose que vous ne savez pas encore c'est que je fais partie des Wrath car c'est comme ça.
« Caractère »
Le néant. Voilà tout ce qui la compose. Sa fragile ossature lui donne des airs de fantôme squelettique, la rendant presque transparente aux yeux des autres. La couleur de sa peau se fond dans la limpidité des gouttes de pluie qui ne cessent de tomber sur son existence. Ses iris désenchantés se sont égarés dans le vertige de la noirceur, pour ne laisser qu'un cadavre de la douce enfant qu'elle fût auparavant. La douceur de ses traits dissimule toute la haine qu'elle incarne, faisant taire les songes malades qui la hantent. Elle ne vit que par l'indifférence de toutes existences, y compris la sienne. Mourir n'a aucune importance. Depuis bien trop longtemps pour qu'on puisse la sauver. Ses souffles brisés se perdent dans les cauchemars qui nourrissent sa colère interdite. Sara a des allures de poupée, fissurée par la candeur de ses larmes. Le silence de ses lèvres plongent la compréhension dans l'oubli, pour ne laisser qu'une folie mélancolique inconcevable par un esprit sain. Son indifférence aiguisée entaille ces gens qui osent s'approcher de son être et son ironie les envoie dans les limbes infernales de sa mémoire, pour n'y laisser planer que des visages sans nom, ni couleur. L'esprit marginal d'une écorchée, s'isolant dans la destruction. Crucifiée par le noir et les chimères éteintes d'un monde dissimulé. Elle est faite de cendres et de flammes, d'ardeurs crépitantes et de cristaux polaires. Un paradoxe décadent, nourri de haine et d'envie. De plaisirs malsains et d'éternités dépravées. Évoluant dans le besoin constant de décadence, prisonnière de sa propre domination. Porteuse d'un cœur vide, d'une indécente noirceur. Sa boîte crânienne est rongée par le nucléaire de ses doctrines, elle a perdu sa religion dans le sang qu'elles ont versé. La présence insignifiante de ses émotions condamne sa peau dans la froideur d'un hiver qui n'en fini pas. Dans l'océan de sa haine brûlante, elle se perd. Entièrement.
Une étrangère dans cette foule de gens qu'elle ne supporte pas. Peut-être que sa chair est trop trouée, peut-être que son cœur n'est plus qu'une pierre calcinée par les ravages de la réalité. Elle a la mémoire terrassée par le vice et les bas fonds de la perversité. La violence lui noue la gorge et réveille ce silence, toujours resté incompris. Mal interprété. Mal analysé. Comme la nuit broie le jour, la destruction s'est incrustée dans ses gênes. L'anéantissement de l'innocent, la condamnation de l'enfant qui se cache encore au fond d'elle. Elle est à l'image de ses cauchemars, avançant dans ces rues désertes avec le regard creux. Les poings serrés d'être le pantin des terreurs qui la fige dans une cruauté que l'on ne définit pas. Un bunker en acier a remplacé son humanité. Des apparences qui ne lui servent qu'à s'éloigner de la naïveté à laquelle elle a failli croire. On ne définit pas l'inconstant, alors ne cherchez pas à comprendre ou même à voir au-delà de ce qu'elle vous impose puisque vous n'y trouverez qu'un fantôme dans le corps d'un vivant.
L'envie de vivre sans regrets, la frénésie d'une liberté inconditionnelle et la fuite constante. La friction de l'adrénaline dans ses veines et les insomnies d'une adolescence salie par la chair. Elle reprend son souffle dans l'effacement de sa présence, elle s'oublie. Déconnexion nécessaire à son bien-être. Elle n'a pas de règle, ni de mode d'emploi. L'instinct est la seule chose à laquelle elle se soumet. Les routes sinueuses de son esprit ne mènent nulle part, si ce n'est qu'à la désillusion. Les croyances ne guérissent pas les plaies, n'effacent pas ces atrocités qui la pourrissent jusqu'à la moelle. Elle ne croit pas en ces espoirs que l'humanité chante pour se rassurer. Pessimiste ? Peut-être, même si elle dirait plutôt réaliste. La déstructure d'un empire dans toute sa splendeur. Tout est éphémère. Une injustice qu'elle n'a jamais comprise, qui perce ses poumons et qui empoisonne la moindre de ses paroles. Les regards ne l'intéressent pas. Persuadée qu'elle n'a pas besoin des bras de quelqu'un, de sa chaleur ni même de la douceur de sa voix. Elle a trop peur que cela lui manque, elle ne sait pas si elle saurait survivre à la dépendance de quelqu'un. De quelqu'un qu'elle aime. Elle ne sait pas comment on se bat face à ça... Peut-être qu'on ne peut pas, que c'est pour cette raison qu'elle fuit. Sans cesse. Ce sont des stupidités, elle ne veut pas se perdre dans l'hypocrisie et attendre d'être aimée. Les clichés, elle les brûle avec de l'essence, savourant l'odeur qui s'y dégage.
Il y a de l'arrogance dans ses veines, une franchise corrosive qui brise les idéaux que ses yeux peuvent laisser croire. Elle n'a rien de la jeune femme tendre et adorable, rien de l'amie attentive et loyale. Les antipodes vexants de son fonctionnement asphyxie les rêves naïfs. Si un jour, elle vous porte une quelconque attention, sachez que ça ne sera que par pur intérêt. Les attachements lui déchiquette l'organe qui la tient soit disant en vie. La solitude ne lui fait pas peur, c'est plutôt la présence qui l'inquiète. Elle est libertine. Une catin, une salope entretenue. Appelez cela comme vous le voulez, elle s'en fiche éperdument. Les avis extérieurs sont aussi transparents pour elle, que l'air qu'elle inspire. Les contacts humains, le partage, tout ceci elle ne connaît pas. Ce n'est pas son domaine, peut-être que ça ne le sera jamais. Elle a les rétines atrophiées par la vie, elle ne sait pas vraiment pourquoi. Les corps qui s'enchaînent, la soit disant passion charnelle.. L'amour... Pour elle, tout cela, ce sont des mensonges qu'un imbécile a lancé à la foule parce qu'il s'ennuyait. C'est primitif, animal.
Elle n'a pas peur de la vérité, elle n'a pas peur de cracher son venin non plus. S'il est incrusté dans ses veines, c'est bien évidemment pour qu'il sorte. Elle sait encaisser les coups qu'on lui donne et elle a un plaisir malsain à les rendre encore plus fort. Les événements ont fait qu'elle a réussi à apprécier le temps qui s'écoule, les souffles qui se perdent et l'envie de s'en sortir. La résistance, l'endurance, l'évolution, ce sont ses bases. Les cicatrices qu'elle a sur la peau, elle n'en a pas honte. Elles la constituent, racontent son histoire. Elles ont fait naître cette force sans origine en elle. Incassable et dérangeante, elle lui permet d'avoir une assurance qu'elle ne connaît pas. Elle a toutes les caractéristiques d'une connasse accomplie. Le répondant, le caractère déplacée, le je-m'en-foutisme grinçant et l'ironie noire. Elle arrive à voir la beauté dans l'obscurité des choses. Ses yeux s'illuminent dans la défaite du monde, elle voit les choses telles qu'elles sont et non comme on veut qu'elle les voit. En ramassant les morceaux de son être, elle a appris à ne compter que sur elle-même. L'ignorance de la souffrance la rend immortelle de l'esprit. Vous pouvez tout lui prendre, vous pouvez la briser mille fois, déchirer son âme comme si elle était faite de papier, ça ne l'empêchera pas de revenir. De vous regarder disparaître. Elle ravalera les larmes qu'elle cache, les transformera en acide et vous les fera boire. Elle s'échappe dans l'irréel, dans les songes abstraits que son imagination lui susurre et elle éteint vos existences en fermants ses paupières. Tout le vermeille de ces guerres qui se perd en elle définit le démon qu'elle est devenue.
« Ton petit secret et ta particularité»
Mon secret fait saillir mes os, me fait vomir le cœur et le massacre à coup de respirations saccadées. Silence. Mes lèvres coincées dans la torpeur de faire face, d'avouer enfin. Non. Je ne veux pas. La discipline de mon épiderme, les pointes de cette ossature que je chéris et la légèreté. L'invisible. L'intouchable. Je lave la décadence qui m'a sali à chaque fois que mes doigts s'enfoncent au fond de ma gorge. Histoire de me rendre plus pure, plus saine. Les chiffres qui chutent sur la balance et mon regard qui se creuse encore et encore, toujours. Sans cesse. Ça ne regarde que moi. Dégage, putain. Ouais, c'est ça. Dégage avant que ma langue te salisse pour de bon. Elle est condamnée dans mes côtes, dans ma boîte crânienne. Elle me dévore, toute entière et se fou de ce que tu penses. La maladie.. La mienne.
Qui se cache derrière l'écran....
Je m'appelle Helly mais on me connait sous le pseudo intodust. J'ai 18 ans et toutes mes dents. J'ai connu le forum sur/par Yaya et je le trouve plutôt intéressant. Je n'ai pas de double compte. En lisant le règlement, j'ai vu qu'il y avait un code et le code que j'ai trouvé est OK BY SEXY KAYLAN , je fais du rp depuis 4 ans à peu près et j'aime ça. J'ai envie de vous dire que le contexte du forum est juste génial. Ah oui j'allais oublier, voilà un modèle de rp simplement pour vous faire voir ce que je sais faire mais attention il est caché.
Spoiler:
Les chimères de l'amour. Ces illusions qui vous vole le cœur dans l'unique but de le faire vivre à tel point qu'il s'en retrouve mourant un jour ou l'autre. Ce rêve n'existe pas sans douleur. Il y a un prix à payer, des larmes à donner en gage de.. De quoi au juste ? J'avais pour habitude de considérer ce sentiment comme inutile et masochiste. Certainement qu'il l'est et pourtant j'aurais tout donner à l'heure actuelle pour revoir celui qui a su le créer en moi. Une dépendance nocive s'était installée entre son regard et le mien et la tendresse qu'il n'avait jamais réussi à montrer à une autre personne que moi laissait un vide sur ma peau. La réalité, c'était que sans lui, je redevenais cette orpheline qu'il avait rencontré. Je redevenais ce néant humain, ce fantôme déchiré par l'incompréhension. Il m'avait laissé entrer dans son âme pour je ne sais quelle raison et j'y avais trouvé ma maison. Il avait beau être craint et détesté, exclu par la société, je savais que ses apparences n'étaient que les cicatrices de son passé. Je n'avais pas peur d'avoir froid dans ses bras, j'avais juste peur qu'il ait froid dans les miens. C'était mélancolique, les souvenirs me berçaient dans une douce torture. Je ne comprenais pas pourquoi il avait fallu que je meurs pour comprendre que mes souffles n'étaient destinés qu'à cette histoire ? Ma vie d'orpheline m'avait appris à ne compter sur personne, à ne rien attendre de quiconque. L'indépendance était devenue ma loi mais il avait tout saccagé. Il avait détruit ma liberté inconditionnelle et j'avais encore l'odeur de son sang sur les mains. Ses mensonges avaient transpercé ma chair et je n'avais pas protesté. Même pas une seule fois car il y avait cette dépendance que je n'ai jamais comprise. Cette dépendance qui me tenait prisonnière de ses songes. Et qui rendait son absence infernale. J'avais fui la vie, je suis partie comme une voleuse en ne lui laissant qu'un chagrin amer. Je lui avais menti sur mon état. « Je vais bien tu sais. Je ne te laisserais jamais. » Jusqu'à ce jour où mes dix-neuf années ont sonné et où mon sang a signé la fin de mon existence sur Terre. Je n'avais que le souvenir de ses larmes auquel m'accrocher. Quel enfer aurait pu être pire que celui-ci ? J'avais besoin de le supprimer. De l'éteindre à jamais mais en ayant quelqu'un en face de moi qui lui ressemble invraisemblablement, l'opération s'avérait carrément plus difficile. Voire impossible.
D'ailleurs, je me rendais compte que le total inverse se produisait. Mes pensées s'aventuraient dans la luminescence de mes psychés et m'empêchaient de déchirer cette page le concernant, pour ensuite la jeter dans le feu brûlant de ma rage. Ce n'était pas un manque de courage mais je savais qu'en le reniant de ma mémoire, j'allais renié la dernière parcelle d'humanité qu'il me reste. Je n'avais pas été capable de tenir cette promesse que nos âmes avaient inscrit dans le ciel. Nos mains ne tenaient plus ensemble et aujourd'hui, j'étais égarée dans un espace incohérent. Dans un espace où j'étais seule. Entièrement seule, comme au début. La couleur de ma peau se perdait dans la limpidité de l'inutile et c'en été aussi désolant qu'une marche funèbre. Toute cette fatalité disparaissait sous l'échine de mon indifférence. Dans mes yeux, il n'y avait plus que la nébulosité constante du néant.
Dernière édition par H. Sady Wild le Mer 7 Déc - 16:57, édité 11 fois
« H. Sady Wild»
▌Message : 41
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mer 30 Nov - 16:28
Born to die.
Je suis née. Comme tout le monde. Comme toi qui va lire ce foutu texte. Il me semble que c'était en Octobre. La nuit d'Halloween. Ironie. Au sein d'un petit couple de bourges, étouffés par le frique. Gerbant leur image dans le miroir, au matin. J'ai grandi dans la richesse incontestée de mes géniteurs. La dignité de travailler pour manger, je ne sais pas ce que cela veut dire. Paris a vu se lever mes premiers jours sur Terre. Oui, c'est la capitale des lumières qui a bercé mes premiers souffles. Mon enfance s'est déroulé dans l'ignorance totale de mes géniteurs. Ils n'avaient jamais le temps pour leur chère petite fille, enfermée dans la prison doré qu'ils lui avaient façonné. Je n'ai jamais été scolarisée, pour la simple et bonne raison que mes parents souhaitaient que j'étudie avec des professeurs particuliers. Le monde social ? Je ne l'ai jamais connu et encore aujourd'hui, j'ai de nombreuses réticences. Étant fille unique, je n'ai jamais eu le sens du partage et je ne l'aurais certainement jamais. Ma vie n'a été qu'un ramassis d'inutiles et cela n'a pas trop changé avec le temps. Les choses ont commencé à bouger lors de mon adolescence. Dans la mauvaise direction, bien évidemment.
Ma vie de princesse se transformait lentement en cercle vicieux qu'il m'était impossible d'arrêter. Dans le silence des nuits souillées par le pêché de mon père, je me suis retrouvée à sa merci. Un soir, alors que ma mère était partie en voyage d'affaire, il était venu dans ma chambre. Je me rappelle avoir été étonnée de cette considération soudaine. Être stupide que j'étais, je m'étais laissé aller à l'idée qu'il veule m'accorder un peu de son temps. Partager quelques paroles, m'adresser son regard qui me manquait souvent. Il n'en fût rien. Cette nuit-là, l'ordure qui me sert de père s'est emparé de ma virginité afin de la laisser mourir au creux de sa luxure incestueuse. La scène s'est répété plusieurs fois. J'ai essayé de résister quelques fois mais je ne faisais pas le poids et ces coups me tenaient clouée au sol. Il pensait qu'en me couvrant de cadeaux, qu'en me prêtant sa carte de crédit, j'oublierais. Quelle connerie, cela dit je ne me suis jamais gênée pour vider son compte. Étrangement, je n'ai jamais versé une larme. Toute la douleur que je ressentais face au viol qu'il me faisait subir quotidiennement s'est transformé en quelque chose d'étrange. Ma tristesse se métamorphosait en haine violente, pour finir par laisser couler mon indifférence. J'ai crucifié mes peines en me faisant vomir. Et le poids de mon corps disparaissait de plus en plus. Il me semble que j'ai toujours recherché la pureté, en recrachant mon intérieur, j'avais la sensation de frôler cette perfection qu'est l'innocence. Ma vie s'anorexiait, mes os oscillaient sans retenue et mon âme s'est déchirée en lambeaux. Plus rien n'avait d'importance. Plus rien n'a d'importance.
J'ai cru voir l'illusion d'une issue de secours se dessiner face à moi, mais ce n'était que foutaise. Les sourires d'un garçon au cœur figé dans la pierre m'avait donné cette sensation de me maintenir en vie. Mais les sentiments m'affaiblissaient, je suis partie. Le laissant seul, endormi après lui avoir fait l'amour avec mes sentiments et non mon corps meurtri. J'ai vécu à Londres, durant ma vie catastrophique d'adolescente et le destin a voulu que mes parents ait un crash en avion, confirmant ainsi leur mort. J'étais devenue milliardaire sans savoir quoi faire de tout cet argent dont j'étais la seule héritière. Ma vie ne se résumait plus qu'à sortir, pour ne rentrer qu'au petit matin. Complètement défoncée à ces produits illicites qui me faisaient planer. Je vomissais toujours mon impureté, devenant de plus en plus accroc à ce sentiment de légèreté que rien au monde n'égalait et les urgences étaient devenu mon terrain de jeu.
Les mois ont passés et finalement, Londres ne m'amusait plus. J'avais besoin d'un ailleurs que je pourrais pourrir avec ma haine affamée. Je décidais de partir à Los Angeles. Mon âme désaxée ne devrait pas les étonner. La cité des anges semblait être parfaite pour accueillir toute l'insanité de mes pensées et je voulais jouer avec le danger de ses flammes. Qui sait, peut-être que la grisaille de Londres me manquerait mais je n'en avais que faire. Je ne cherchais plus à vivre, je ne cherchais plus non plus à me battre contre ce vent fiévreux qui m'emportait dans les limbes des enfers que le monde dissimulaient. Je restais impassible face à la vie, à l'amour et toute ces conneries que les gens croient naïvement. Vendre mon corps pour le détruire encore plus, le vice en constante augmentation. Je dégueule sur les sentiments. Je connais mes limites, c'est la raison pour laquelle je les dépasse toutes. Je n'ai pas peur de mourir, c'est peut-être la seule raison pour laquelle elle ne m'a pas prise. Los Angeles est à moi, autant en profiter. Quitte à y laisser mon squelette.
Dernière édition par H. Sady Wild le Mar 20 Déc - 0:01, édité 4 fois
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mer 30 Nov - 16:32
TE VOILAAAAAAAAAAAAAAAAA je t'aime je te fais des bébés, même si je peux pas on adoptera ensemble !!! -retourne à la fiche de son dc- comme l'as dit mon mari !!! si t'as des questions n'hésite pas *.*
« H. Sady Wild»
▌Message : 41
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mer 30 Nov - 16:40
Merci Contente de m'être inscrite. OWI FAISONS DES BÉBÉS SPIRITUELLEMENT. Et je n'hésiterais pas si j'ai besoin de vous (:
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mer 30 Nov - 16:41
en tout cas j'ai hâte de voir ton personnage -va lui faire des bébés- bonne chance pour ta fichouille
« Shigeko Tachibana»
▌Message : 17
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Jeu 1 Déc - 19:04
Bienvenu à toi, toi qui était attendue! XD Bon courage pour cette fiche qui s'annonce déjà superbe!
« H. Sady Wild»
▌Message : 41
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Jeu 1 Déc - 20:11
Awi ? C'est vrai ? XD Merci beaucoup pour ton encouragement et au fait, j'aime énormément la demoiselle de ton avatar. C'est la première fois que je la vois mais elle est très jolie (:
« Invité»
Invité
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Jeu 1 Déc - 21:11
Bienvenue parmi nous
Et bon courage pour ta fichette
« H. Sady Wild»
▌Message : 41
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Ven 2 Déc - 11:34
Merci
« Calypso Z. Leager»
▌Pretty Face : ▌Message : 79
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Dim 18 Déc - 9:11
Comme je te l'ai dis via MP, tu es un délais pour faire ta fiche, sans aucun soucie, tu peux prendre ton temps
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mar 20 Déc - 8:48
Welcome In L.A
Fiche validée ! Bien, mon petit bout de viande ! Fait moi le plaisir de venir recenser ton avatar ici. Ensuite n'oublie pas de faire ta fiche de lien, il serait tellement dommage qu'aucun ami ne vienne te pleurer lorsque je t'aurais découpé en petite rondelle ! N'oublie pas de faire ta demande de logement ici, ainsi tu pourras te cacher...enfin ça ne fera que retarder ton échéance ! Et trouve toi un travail par-là ! Ah oui ! N'oublie pas de faire ton téléphone portable parici, au cas où tu voudrais appeler la police ! Sur ces derniers mots, bienvenue à Los Angeles et surtout fait attention à toi...
PS : J'ai adorée ta fiche, je veux un liendelamort avec Caly oublie pas de venir faire un tour dans le sujet des minis intrigues (a)
« H. Sady Wild»
▌Message : 41
Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken. Mar 20 Déc - 11:15
Ce n'est rien Cameron. Merci d'être passé (: Ensuite, merci pour la validation. Contente que ça t'ai plu ♥ Et je vais créer ma fiche tout de suite après que j'ai mangé, puis on discutera de notre lien héhé..
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Sujet: Re: SADY ▲ wild hearts can't be broken.
SADY ▲ wild hearts can't be broken.
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