« Shigeko Tachibana»
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![Maybe bad but perfectly good at it ~ Shigeko [OVER, BABY!] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif) |  Sujet: Maybe bad but perfectly good at it ~ Shigeko [OVER, BABY!] ![Maybe bad but perfectly good at it ~ Shigeko [OVER, BABY!] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 13 Nov - 17:49 | |
| Shigeko Tachibana Tumblr ® ft. Hwang Mi Hee Je m'appelle Shigeko Tachibana mais certaines personnes me surnomment "Cherryblossom" ou "Sakura" . Je suis né(e) à Long Beach le 1er janvier 1990, ce qui fait que j'ai aujourd'hui 21 ans. Je suis à Los Angeles depuis toujours ou presque... ouais, les ghettos, ça compte dans Los Angeles et je dois avouer que je trouve la ville plutôt excitante. Depuis un petit moment maintenant, j'ai découvert que j'étais hétérosexuelle à 90% et bisexuelle à 10% et c'est comme ça. J'aime beaucoup danser, le luxe, être regardée par les hommes et les femmes par contre je déteste faire trop d'efforts, les filles qui pleurent tout le temps, la misogynie. Une chose que vous ne savez pas encore c'est que je fais partie des Lust car c'est comme ça.
« Caractère » Je suis intelligente... Tout le monde m'a toujours rabattu les oreilles là-dessus. Le truc, c'est que je suis aussi une grosse tire-au-flanc opportuniste alors me servir de mon intelligence me gonfle bien souvent plus qu'autre chose. Surtout, j'ai remarqué que nous vivons dans un monde où seul l'apparence prime. Ce qui tombe bien, c'est que je suis plutôt canon. Pas un top model d'un mètre soixante dix-neuf, hein, mais avec des seins, des hanches et des cuisses. Une bouche pulpeuse, un regard aguicheur. Je sais me mettre en valeurs et sans vouloir me vanter, j'attire les regards aussi bien féminins que masculins. Les regards, parlons-en... J'aime qu'ils convergent vers moi et je fais toujours tout pour ça. Décolletés, mini-jupes et talons haut, crinière sauvage, rien n'est laissé au hasard. La séduction fait parti intégrante de moi et de qui je suis, je ne peux pas vivre sans plaire. Du coup, c'est vrai que je suis assez volage. La serrure n'est pas dur à faire sauter encore faut-il pouvoir se le permettre, financièrement, mentalement et physiquement car je suis exigeante, je ne fricote pas avec le premier venu. Le revers de la médaille, c'est que les sentiments et moi, ça fait quatorze. A part ce garçon que j'aimais adolescente et qui a été tué devant mes yeux, je suis incapable d'aimer qui que ce soit ou de m'attacher, peut-être à cause de ça, d'ailleurs. Du coup, je préfère de loin les relations charnelles aux relations sentimentales. |
| « Ton petit secret et ta particularité»
Hum... Comme j'ai été témoin d'un meurtre, je dois garder secret mon passé. Je me fais appeler Sakura par les gens de passage pour cette raison, ils n'ont pas à savoir mon nom, mon histoire et d'où je viens. On ne sait jamais... Mais je cache autre chose, quelque chose de plus profond, que je garde en moi. Toutes ces années passées à subir la guerre des gangs m'ont fragilisés. Le meurtre de mes parents plus particulièrement. Je suis achluophobe... Même à mon âge, je dois dormir avec une veilleuse sinon je ne suis pas rassurée. Mon passé vient très souvent me hanter et mes cauchemars sont si violents qu'ils peuvent m'emmener à faire des crises ressemblant à de l'épilepsie. C'est aussi pour ça que je reste rarement dormir chez mes amants de passage... Personne ne doit savoir.
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Raconte nous une histoire.... Mon prénom Shigeko vient d'une nouvelle de Yukio Mishima nommée "La Lionne", qui s'inspire du mythe de Médée. L'héroïne, qui s'appelle donc Shigeko sait que son mari la trompe et veut la chasser de la demeure pour y faire élevé leur fils par sa maîtresse, qu'il compte épouser. Elle refuse que cette fatalité ne se produise et pour se faire, met toute son énergie dans sa vengeance, qui ne peut se solder que par la mort de tous les êtres chéris par son mari, y compris leur fils, qu'elle tue dans son sommeil. Lourd héritage que voici et qui est le mien.
Mes grand-parents ont fuit le Japon à la fin de la Seconde Guerre Mondiale et se sont établis aux États-Unis, d'abord à Chinatown, puis à San Francisco et enfin à Long Beach. Ma mère était une immigrée asiatique, elle aussi mais coréenne et mes parents ont du affronter la colère des patriarches, certes américanisés mais encore accroché à leurs traditions. C'est dans ces conditions que je née, un premier juin... sur le chemin vers l'hôpital, dans un taxi! De quoi commencer une belle vie...
A Long Beach, tout dépend à quoi tu ressembles. Si tu es noir, latino, asiatique, tu peux te faire plomber à chaque fois que tu sors de chez toi. Pas un jour ne se passe sans qu'une fusillade n'éclate, de ça de là. Les gens se battent pour des territoires mais aussi des questions de race, de fierté... J'avais six ans quand j'ai vu la guerre pour la première fois. J'étais simplement dans une supérette avec ma mère, en train de faire un caprice pour avoir des bonbons quand des coups de feu ont éclaté. J'ai voulu me précipiter dehors pour voir ce qui se passait mais ma mère m'a forcé à me cacher derrière le comptoir du marchand asiatique. En m'y rendant, j'ai quand même vu un cadavre allongé, avec du sang sortant de sa bouche et de sa tête. Pendant des semaines entières cette image m'a hantée. Puis, c'est devenu bêtement la routine. A dix ans déjà, j'avais vu plus de cadavres qu'un employé des pompes funèbres. Au début, juste des corps anonymes allongés sur l'asphalte. Mais à force, ce n'étaient plus seulement des cadavres au bout de la rue, ce sont mes amis que j'ai vu tombé.
J'avais douze ans quand j'ai été initié pour rentrer dans un gang. Ce jour-là, tu ne dois pas broncher contre les coups de poings et les coups de pieds. On te frappe pour t'apprendre à ne pas craquer. Ma mère disait que c'était nocif, une perte de temps, qu'avec mon physique je pouvais percer dans le cinéma et qu'avec mon intelligence je pourrais prétendre aller à l'université. Mon père, lui, disait que c'était ce qui était juste, que l'on devait se battre pour nos États-Unis, se battre pour ce qui est à nous. Paix à leurs âmes....
J'ai été mêlée de très près à une affaire de meurtre. Témoin directe. J'avais assisté à une fusillade dans un drugstore, opposant asiatique et latino. Mais la mauvaise personne a été tuée. Cette personne, c'était mon petit ami, mon premier grand amour. Lors du procès, je devais témoigner en faveur de mon clan, dire que c'était le petit latino qui avait tué le garçon que j'aimais. Mes "frères" m'ont dit, "tu ne peux pas trahir les tiens, ceux de ton sang" et pourtant... En voyant la mère du garçon qui avait mon âge, dix-sept ans, tout au plus, je n'ai pas eu le courage de mon parjure. Et j'en ai payé le prix.
Toute une famille a débarqué chez nous... C'était moi qu'ils voulaient mais ma mère s'est opposé. J'ai réussi à m'enfuir grâce à elle, en laissant tout derrière moi. J'ai couru sans m'arrêter jusqu'à être sortie du quartier, où nous étions reniés. Je n'ai plus jamais revu mes parents... parce qu'ils sont morts. La famille n'a pas été arrêtée car la police blanche ne veut pas s'occuper des affaires de gang.
J'ai trouvé refuge chez ma grand-mère, désormais veuve. Elle était déjà très âgée et avait déménager de Long Beach pour Inglewood, fief des Bloods et des Crisps, deux gangs célèbres. Pourtant, c'est là-bas que j'ai pu oublier mon passé de membre de gangs. Ma grand-mère était très stricte. Elle soutenait que mes ancêtres appartenaient à l'aristocratie japonaise et que je devais leur faire honneur. Elle m'a initié à l'art de la calligraphie, au danses traditionnelles et au Shamisen. Elle voulait que j'aille étudier à l'université et m'y encourageait tous les jours, malgré ma fainéantise. J'aurais pu aller à UCLA... mais ma grand-mère est morte lors de ma dernière année de lycée. Seule, sans personne sur qui compter, j'ai bien du m'en sortir. J'ai déménagé pour Hollywood. La cité où tous les rêves sont permis. Mais sans diplôme et sans bagages, à part serveuse, rien de bien extraordinaire ne s'est présenté à moi. Il était hors de question que je ne devienne serveuse... J'ai préféré vendre mes charmes en tant que "danseuse exotique". C'est un mot politiquement correct"e pour ne pas dire "strip-teaseuse". Je danse pour un club dont je sais bien qu'il est relié à la mafia. Mais ne vous faites pas d'illusions... même dans la Cité des Anges, les ex-membres de gang ne peuvent pas devenir des princesses. Arrêtez de regarder "Pretty Woman"!
Qui se cache derrière l'écran.... Je m'appelle comme tu veux mais on me connait sous le pseudo Jae-In ou parfois Yuniie . J'ai XX et toutes mes dents. J'ai connu le forum sur/par la fabuleuse fonda et je le trouve plutôt enthousiasmant. Je n'ai pas de double compte . En lisant le règlement, j'ai vu qu'il y avait un code et le code que j'ai trouvé est Code bon, car j'aime vitalie jusqu'à la mort, je fais du rp depuis un an maintenant. et j'aime ça. J'ai envie de vous dire Yaya, je t'aime, épousaillons-nous et faisons pleins de bébés ensemble! Ah oui j'allais oublier, voilà un modèle de rp simplement pour vous faire voir ce que je sais faire mais attention il est caché. - Spoiler:
Mes pieds sont fermement ancrés sur le sol et pourtant... J'ai l'impression de marcher dans le vide, ou d'être constamment en train d'écraser des œufs. Tout a pris une autre consistance depuis peu. Je regarde le monde qui m'entoure différemment et j'assiste à ma vie comme si je n'étais pas dans mon propre corps, comme si j'observais quelqu'un d'autre faire pour moi les choses que je dois faire. Oui, depuis quelques temps, je suis un automate, un robot, une coquille vide qui survit mais ne vit pas, qui a le cœur qui bat mais qui ne respire pas. Poupée inanimée. Vide de substance. Pourtant, je n'ai pas toujours été comme ça, non...
Je ne suis pas née coquille vide. Au contraire, j'ai toujours été enjouée, pleine de vie et d'énergie, la fille speed et fofolle qui parle et ensuite réfléchis, qui ris quand c'est pas drôle et encore pire quand c'est drôle. La nana qui chante faux mais qui est quand même très heureuse de massacrer le dernier T-Ara sous la douche. La gourmande qui aime la vie, les gens, les gâteaux... C'est difficile à croire aujourd'hui et pourtant, il y a quelques mois encore, tout allait à merveille. Il a fallut une chose, juste une toute petite chose pour déclencher le chaos qu'est devenu ma vie alors, un rien et tout a basculé, s'est effondré comme une vulgaire château de sable à la première marée haute.
Honnêtement, je ne sais pas encore ce que je vais faire, je sais juste que tout ça a assez duré et que je ne peux pas en supporter d'avantage. Peut-être que ce sera prendre une mauvaise décision, mais j'en suis à un point où je ne vois plus rien d'autre de possible pour sauver ma pauvre petite âme.
Dans ma tête, tout s'est doucement mis en place et depuis, je suis dans cet état-là, celui où mes pieds n'ont pas l'air de toucher le sol, même si je suis bien en train de marcher sur la terre ferme. C'est comme si j'étais déjà morte. J'ai fortement conscience que se préparer au pire en restant cloitré chez soi est la chose qui arrive le plus souvent quand on est dans mon cas, mais... Si ce pire est bel et bien devant moi, je n'ai pas envie de passer cette soirée à me goinfrer et vomir comme toutes les autres soirées depuis. Je préfère me vider la tête et me rappeler que, aussi, il y a des choses que l'on appelle "plaisir" dans le fait de vivre.
Voilà pourquoi j'ai appelé ma pote Amber - que je surnomme Amby chérie - pour une petite virée en boite entre filles. Si je chante comme une casserole rouillée, j'ai au moins la qualité de savoir bien danser. Il ne faut pas se fier au petit truc à la con que j'ai fait dans Heading to the Ground, c'était fait exprès! Je sais faire autre chose que la danse du poulet à reculons, faut pas pousser. Ce qui est sympa avec Amby, c'est qu'elle ressemble à un mec. Ainsi, je peux faire croire aisément que c'est ma copine pour repousser les gros lourds tout plein de bière qui viennent se coller à moi avec un sourire contenté, chose qui me fait sursauter de peur, d'ailleurs, car j'ai toujours peur qu'un truc de pas net pointe contre mes fesses. Pwah! Alors, okay, je sais... Y a des gros pervers de base que ça fait rêver, deux filles ensemble mais en général, ils pensent à deux nanas avec des gros seins, pas à une fille maigrichonne et à un tomboy, alors ça passe.
Je lui ai envoyé un texto pour lui dire de me rejoindre dans notre "temple" préféré. Ça faisait une éternité que je n'étais pas sortie en boite de nuit. Les échos assourdissants me parviennent depuis l'extérieur où j'attends, avec mon gros manteau d'hiver que ma copine arrive. J'ai déjà passé le cordon VIP et tout le tralala, je pourrais donc déjà rentrée et me poser sur la banquette que j'ai préalablement réservé mais je préfère rester là et attendre, mes pieds toujours aussi ancrés dans le sol, comme semblant flotter par-dessus l'endroit où je me trouve. Drôle de sensation que de voir des choses depuis son propre corps comme si on nous les montrait depuis le corps d'une autre.
J'entends soudain des cris qui retentissent... Oui, Amby chérie a droit a des cris et pas moi, mais c'est normal, elle c'est une idole, moi je suis une actrice, nous n'avons pas le même impacts ni genre de fans. A la question "et si quelqu'un divulguait l'info comme quoi nous sommes toutes les deux allé en boite?", je répondrais qu'ici, c'est comme la grotte du Playboy Mansion, ce qui se passe entre les murs reste entre les murs. Je m'inquiète pour elle, pas pour moi, d'ailleurs. Pour moi, c'est déjà trop tard.
Quand enfin, je vois la jeune métisse débouler dans mon champ de vision, je souris de mon sourire indéchiffrable qui donne l'impression que tout va bien et fait des grands signes de la main, comme la barjot que je suis censée toujours être. Personne ne sait combien je vais mal, à part Yesung - d'ailleurs, c'est juste trop pas normal.
"Youhou, Amby!!!!! Je suis là!!!"
Oui, je gigote comme une dératée, so what? C'est mon état naturel. Naturel quand tout va bien, pas quand je suis au bord du suicide. Mais ça fera la farce. Je suis une excellente comédienne et mon numéro de moi-même est parfaitement exécuté. On n'y voit que du feu.
Dernière édition par Shigeko Tachibana le Lun 14 Nov - 21:27, édité 5 fois |
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« Vitalie A. Orlove»
▌Pretty Face :  ▌Message : 229 | | Sujet: Re: Maybe bad but perfectly good at it ~ Shigeko [OVER, BABY!] Lun 14 Nov - 21:12 | |
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Welcome In L.A
Fiche validée ! Bien, mon petit bout de viande ! Fait moi le plaisir de venir recenser ton avatar ici. Ensuite n'oublie pas de faire ta fiche de lien, il serait tellement dommage qu'aucun ami ne vienne te pleurer lorsque je t'aurais découpé en petite rondelle ! N'oublie pas de faire ta demande de logement ici, ainsi tu pourras te cacher...enfin ça ne fera que retarder ton échéance ! Et trouve toi un travail par-là ! Ah oui ! N'oublie pas de faire ton téléphone portable par ici, au cas où tu voudrais appeler la police ! Sur ces derniers mots, bienvenue à Los Angeles et surtout fait attention à toi... ps : j'aime ta fiche, mais juste ajoute un rp teste je sais que t'as le niveau, mais je veux pas être accusée de parjure XD 
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